Les « DETOX MUSIC SESSIONS »
« Le premier verre de Château Lafite surprendra le buveur de Coca,
tout comme la première blanquette mijotée pour l’amateur de McDo. »
A l’instar de la malbouffe alimentaire, attaquons-nous à la malbouffe auditive !
De quoi s’agit-il ?
Les « Detox Music Sessions » sont des concerts de musique enregistrée, réalisés dans les meilleures conditions, pour faire prendre conscience à un large public du résultat qu’on peut obtenir, le plus proche possible du concert ou du studio, quelle que soit le type de musique.
Démontrer qu’avec de bons choix, pas forcément onéreux, on se surprend à ressentir que l’orchestre et l’interprète sont là, en train de jouer devant nous.
Cette découverte doit relever son niveau d’exigence, pour mettre fin à la « malbouffe auditive » qui nous submerge, imposée par le marketing des grandes marques, qui appliquent des compressions destructives sur le signal sonore, pour le faire rentrer partout, jusque dans dans les smartphones.
Un nivellement par le bas finalement appliqué à tous et à notre insu.
C’est comme faire goûter un bon vin, un bon plat, ces sessions doivent réveiller les sens et apprendre en prenant du plaisir à apprécier la musique dans de bonnes conditions.
Cela doit changer les habitudes de consommation de musique.
Recréer le réalisme du concert chez soi.
Nous sélectionnons pour cela :
- Des artistes dont les oeuvres sont réellement des pépites mais qui n’ont pas forcément eu les faveurs des majors, des disquaires ou des radios, qui passent donc souvent inaperçues,
- Des interprétations particulièrement intéressantes, car entre l’oeuvre et ses nombreuses interprétations (voire transcriptions) la richesse des catalogues est insoupçonnée,
- Des enregistrements de très grande qualité, car c’est dans la naissance de la prise de son et de sa captation analogique que se joue la première manche,
- Des écoutes sur du matériel réellement haute-fidélité, qui n’enlèvera rien du message musical et de l’émotion qu’il transporte et surtout qui n’ajoutera rien non plus (Coloration, modification de la courbe naturelle de fréquences, relèvement artificiel de la dynamique, compression destructive, algorithmes divers et variés …)
Et ce avec tous les types de musique : Jazz vocal et instrumental, pop, rock, classique, symphonique, musique de chambre, musique sacrée, musique du monde, rap …
Une petite idée de playlist detox ICI
Les auditeurs m’ont souvent demandé, notamment lors des salons, quels enregistrements j’utilisais pour les écoutes.
Dans 99 % des cas il ne s’agit ni de raretés, ni d’enregistrements inaccessibles :
Souvent des vinyles, des SACD, des CD du commerce ou des fichiers Hi-Res trouvés sur QOBUZ : Un échantillon ici !
L’expérience musicale avec un enregistrement et une reproduction parfaite, prouvera que l’auditeur n’a pas besoin d’être ni spécialiste, ni mélomane averti, ni techniquement sachant pour faire la différence entre le son botoxé et compressé de la plupart des enceintes connectées et le son du plus petit système haute-fidélité, parfois moins cher.
Nous démontrons, dès les premières minutes, que l’on peut imaginer être réellement devant l’orchestre :
- Reconnaitre en quelques secondes le timbre feutré de la trompette de Chet Baker, la voix suave de Diana Krall. Le respect des timbres est le premier facteur d’une reproduction haute-fidélité.
- Reconnaitre l’acoustique incroyable de la Philharmonie de Paris ou de Berlin, de la Scala de Milan ou le Blue Note à New-York, dans votre salon. Car les réflexions précoces et le temps de réverbération sont différents dans chaque salle (2,3s à la Philharmonie de Paris et comme chez vous aura une influence sur la perception sonore.
- Reconnaitre enfin, les yeux fermés, la position de chaque instrumentiste dans l’orchestre.
Cela fait partie des phénomènes non mesurables par les moyens techniques qu’il faut découvrir, la parfaite localisation des instruments, l’acoustique de la salle et de ses coefficients/temps de retour, l’émotion que la complexité du signal sonore live fait vivre.
Ce que l’on peut sortir parfois des sillons d’un vinyle et qu’on ne pourra pas retrouver dans aucun autre support. Et on vous le prouve par l’écoute !
Vous sortirez différents de ces écoutes, car elles vont créer un nouveau standard d’exigence, contrairement à celui que le marketing des marques, des éditeurs, des playlists et des radios vous impose.
De quel constat partons-nous ?
DETOX MUSIC SESSIONS part d’un triple constat :
- Les radios et autres médias musicaux diffusent en boucle les mêmes titres, les mêmes interprètes, et ce, quelque soit le type de musique dans un seul but marketing d’augmenter l’audimat en répétant ce qui est le plus commercialement fédérateur.
A force d’écouter en boucle la même version des « Quatre Saisons » ou le dernier album de Madonna, on impose des œuvres sélectionnées dans un objectif de rentabilité.
En un mot, le résultat pour l’auditeur, c’est un nivellement vers le bas, limitant les programmations à moins de 0,01 % du catalogue musical mondial, ignorant les petits labels de qualité et des œuvres musicalement très intéressantes - Les impératifs marketing des marques, les conduisent à proposer des produits (enceintes connectées notamment) délivrant un son dit « agréable », « généreux » ou « puissant », mais tellement botoxé dans le grave et l’aigü, modifié par des algorithmes destructeurs.
Donc s’écartent de plus en plus de la reproduction fidèle du son, du timbre des instruments, du réalisme sonore des concerts.
En un mot, le résultat pour l’auditeur, c’est un nivellement vers le bas, proposant une écoute de mauvaise qualité, avec un son déformé et flatteur. - Certaines plateformes de diffusion de musique, tous comme les radios numériques, le DAB, qui compressent de manière destructive les musiques, avec un sous échantillonnage important, afin qu’elles puissent être diffusées en streaming et téléchargées sur des smartphones.
En un mot, le résultat pour l’auditeur, c’est un nivellement vers le bas, proposant une écoute de mauvaise qualité mais plus largement diffusée
Ce que nous proposons :
- Établir des listes de vraies pépites musicales, (exemple ici) souvent inconnues avec des auteurs, compositeurs et interprètes de grand talent, parfois méconnus du grand public. Un relèvement du niveau de l’univers et de la connaissance musicale,
- Les faire écouter sur des systèmes réellement haute-fidélité, à tous les prix.
Des équipements garantissant linéarité, respect des timbres, réalisme dans les niveaux d’écoute et de la scène sonore.
Il faut que l’auditeur retrouve la présence de l’orchestre devant lui.
Rien de plus, rien de moins. - D’utiliser des sources et des supports de qualité
- De bons vinyles sélectionnés / de bonnes platines,
- De bons SACD ou CD / de bons lecteurs
- De bons fichiers numériques (DSD), de bonnes plateformes / de bons streamers
Cette démarche a un triple objectif :
- Faire découvrir des oeuvres et interprètes peu diffusés mais de grande qualité,
- Faire découvrir des systèmes fidèles (chaines hifi ou nomades), pour changer de paradigme
- Faire découvrir à l’auditeur qu’il peut y accéder, sans être un il suffit d’écouter !
Où ?
- Dans des lieux dédiés,
- Dans les salons, les lieux de concerts, des cercles d’audiophiles mélomanes avec des musiciens, des journalistes, des influenceurs, des pros de l’audio…
- Dans les points de vente, et notamment ceux de fort passage,
- Dans une salle ou un lieu remarquable ajoutant du panache à l’événement,
Ce qui est le plus symptomatique et que nous avons vécu lors du dernier salon au Palais des Congrès de Paris, c’est que le public applaudissait à la fin de l’écoute, comme s’il était réellement au concert !
Le réalisme sonore est tel que les auditeurs ont eu l’impression que l’orchestre était devant eux !
CQFD
Comment ?
- Avec du matériel mis à disposition par les marques, choisies en toute indépendance, qui de facto, permet de les faire découvrir et apprécier,
- Avec leur support logistique et financier
DETOX MUSIC SESSIONS : Les deniers salons où l’on ….. écoute !
Le réalisme sonore, c’est revivre le concert, les yeux fermés, avec la même qualité, la même présence, le timbre des instruments et la pression acoustique du réel. Un trompettiste à 4 mètres c’est 91 db !
Qui sommes-nous ?
Un groupe de personnes bénévoles et indépendants, professionnels de l’audio, musiciens, journalistes, audiophiles ou amateurs éclairés, qui fréquentent les salles de concerts ou club de jazz, pour écouter (ou parfois y jouer) …
Puis écouter des enregistrements sur tous types de supports, des heures durant, tester, comparer pour vous servir une réelle émotion musicale.
Vous proposer une sélection d’enregistrements, sur tout type de supports, de nature à démontrer ce que peut apporter de bonnes habitudes de consommation de la musique.