DANDYLIVING, un art de vivre les temps modernes

Je vous invite à ce voyage en 220 pages, une compilation de quelques expériences des 12 dernières années, de reportages en voyages de presse, en cliquant ici : DANDYLIVING_PLANCHE

Ecrire en mode « dandy living », c’est retranscrire les choses dans l’esprit « art de bien vivre », comme un dandy.

12 ans pendant lesquels j’ai eu la confiance de mon éditeur, qu’il soit ici remercié, car il me laisse, depuis tout ce temps, toute la liberté éditoriale et parfois « ça pique », tant mieux !
Obsolescence programmée, prix injustifiés, technologies absurdes, abus de position dominante …

S’agissant les Arts, de la technologie et des sciences, réduire les données techniques au minimum pour le lecteur, afin de laisser la place au « sensoriel », à l’art de vivre que cela procure, ce qu’il nous apporte de profond.

Ce que j’ai appris de l’écriture, c’est de me focaliser sur ce qui intéresse le lecteur, plus que ce qui m’intéresse personnellement.
Comment eux, lecteurs, non techniciens, non spécialistes, doivent être abordés pour ne pas les perdre dès la 2e ligne d’un article ?
De mes comités de rédaction dans différents magazines, il en ressort que ce sont eux qui jugent si ce que vous écrivez est intéressant ou non. Le courrier des lecteurs est dans ce sens édifiant.

Avant de m’intéresser aux réalisations, aux produits à leur technique, je me suis donc intéressé prioritairement à l’expérience utilisateur.

J’en ai déduit qu’à l’opposé des bancs d’essais, des chiffres et des courbes, ce que les nombreux journalistes techniques font fort bien dans les magazines spécialisés, je me suis focalisé sur une approche expérientielle, sensorielle, émotionnelle.

Traduire l’émotion ressentie lors de ce Requiem de Verdi par la Scala de Milan à la Phiharmonie de Paris, par exemple.

Que le « la » de la gamme fasse 440 Hz, cela indiffère mes lecteurs.
Tout comme la fréquence d’échantillonnage dans la compression numérique.
Que la musique soit bonne, porteuse d’émotion au concert ou chez soi c’est là le sujet.
De savoir si une salle, un enregistrement ou un appareil est acoustiquement bon ou pas.
De susciter l’envie avec des codes qui sont ceux du lecteur, hédoniste et exigeant.
Pourquoi se contenter de peu si on peut avoir mieux ?

Considérer les choses avec le prisme des lecteurs, à la recherche du meilleur mais pas forcément le plus cher.
Loin des modes qui passent, mais au plus près du style qui est éternel comme l’évoquait Coco CHANEL.

J’invite les lecteurs à partager un voyage, une expérience sensorielle devant susciter une émotion, un ressenti, finalement une envie.
Non pas donner une recette, au gramme près, mais simplement susciter l’appétit, mettre l’eau à la bouche.
« On ne fait bien que ce qu’on aime.
Ni la science ni la conscience ne modèlent un grand cuisinier» – Colette

J’ai toujours, tout au long de ma vie, fait de mes passions mon métier.

Ces métiers, issus de mes passions, m’ont offert une existence heureuse, m’ont permis d’écrire, de partager les expériences et les rencontres formidables de ma vie.