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Un vent mauvais souffle dans nos oreilles

Alors que nous travaillons depuis plusieurs mois sur un sujet qui est au coeur de mes préoccupations, la promotion du segment high end dans l’audio (bientôt une tribune et un nouveau bouquin), je ne peux pas ne pas réagir à une tendance, à mon sens dévastatrice :

Le détournement trompeur d’une technologie audiophile, pour vendre des produits qui n’en ont pas les caractéristiques, et qui donc ne tiendront pas les promesses des dites technologies.

Démocratiser la haute fidélité est une bonne option si on ne détruit pas ce qui la définit, sinon c’est une imposture !

C’est hélas devenu récurrent, et sans particulièrement les stigmatiser, le cas par exemple et au hasard, avec une platine vinyle chez ARGON ou d’un casque chez SONOS.

Coup de gueule ici :

Mon coup de gueule d’aujourd’hui concerne la clientèle la plus nombreuse, que l’on abuse en promettant des résultats s’appuyant sur des technologies garantes de qualité, mais dont la fabrication anéantit toutes les promesses attendues.
C’est ce que nous combattons ici, en tant que défenseurs de la musique, des oeuvres, des interprètes et de l’industrie qui les portent

 

 

 

 

 

Je m’explique :


Prenons d’abord de cas du vinyle.


Maintenant que tout le monde ou presque finit par comprendre (et entendre) que l’analogique est bien souvent supérieur au numérique, que le vinyle, AAA notamment, est souvent supérieur au CD, même si des progrès ont été faits, la recrudescence de vente de platines est au rendez-vous et c’est formidable !

Ce réveil des oreilles pour un plus grand nombre, c’est l’accès à la richesse musicale donc à l’épanouissement dans la grandeur des oeuvres, toutes musiques confondues.
Les artistes actuels, sortent quasiment tous simultanément (voire prioritairement) un vinyle de leurs albums.
Parfois même en 45 t/m par ex le double album « MAESTRO » de la musique du film sur Leonard BERNSTEIN chez DGG (Double LP 45RPM avec le London Symphonic)

Le 45 T/M permet d’élargir le pas de la gravure et donc d’une part d’augmenter la capacité dynamique et la gamme de fréquence, notamment dans le grave (extrait de la 1e de Mahler) et la surface de contact entre le diamant et le sillon.

Ceci pour vous montrer dans quel (bon) sens doit aller la démarche, totalement contraire à celle que je dénonce ici

Je viens d’acquérir quelques autres merveilles, de vraies pépites, à découvrir dans mes posts de playlists et « Detox Music Sesions » .

C’est là une démarche audiophile, pousser toujours plus loin la technologie pour une expérience musicale de plus en plus fidèle.
Et donc voilà que les usines de THORENS, REGA, PRO-JECT tournent à fond et à juste titre pour que nous retrouvions la chaleur de la présence et le réalisme incroyables des concerts de rock, de jazz ou à la Philharmonie.

Mais …

C’est sur cette vague que viennent maintenant surfer de nouvelles marques qui font croire au plus grand nombre que parce que c’est une platine vinyle elle va apporter à l’auditeur pour 100 ou 200 € le résultat promis de l’analogique ….
Alors que le résultat sera pire que le pire des CD !
Donc, c’est non, car la technologie vinyle, pour tenir ses promesses a des impératifs techniques qui ne seront pas tenus ici. 

Par exemple une masse importante du châssis (EAT vient de sortir une platine dont le socle est en béton) ou la qualité de la suspension (contre platine suspendue) ou un plateau lourd,  pour absorber la résonance propre du disque, un bras rigide, etc
Aussi la qualité de la cellule, alors sur une platine à 200 ou 300 €, quelle cellule ?
Pour extraire les merveilles de nos vinyles, si tout n’est pas au rendez-vous, il n’y aura pas de résultat.

Donc j’ai été voir et écouter la platine ARGON, après avoir vu la promesse faite sur leur site :

Du rétro au moderne,
DÉCOUVRIR LE CHARME INTEMPOREL DES PLATINES VINYLES

Avec une platine vinyle, vous vivrez la musique comme jamais auparavant.
Le son chaud et riche du vinyle est inégalé et peut donner vie à vos chansons préférées d’une manière que la musique numérique ne peut tout simplement pas égaler.
À l’ère du numérique, il peut sembler que les platines et les disques vinyles appartiennent au passé. Cependant, les platines vinyles font un grand retour et deviennent plus populaires que jamais.
Des audiophiles aux mélomanes, les gens redécouvrent le son et l’expérience uniques que seuls les disques vinyles peuvent offrir.

Certes, ça c’est le marketing habile de la marque, mais à la découverte du produit, au premier coup d’oeil, rien ne peut tenir la promesse, ni la conception, ni les matériaux, ni la masse du châssis, ni la suspension, ni le bras….
C’est un produit de conception bas de gamme.

Les pieds, censés découpler la platine de son support sont sans aucune efficacité, dès que l’on monte le niveau, la captation microphonique se manifeste par un rumble impressionnant

Je prend le plateau métallique léger et lui donne un petit coup du bout du doigt :
Il se met à sonner comme les cloches un jour de Pâques…


Comment voulez vous que le vinyle se comporte à la lecture dans ces conditions ?
La résonance de l’ensemble plateau / vinyle va apporter une somme d’informations destructrices.
Certains constructeurs qui ont été victimes de ce défaut de jeunesse, proposent un plateau lourd en métacrylate (PRO-JECT)

Seule la cellule ORTOFON (tout à fait honnête même si c’est une entrée de gamme) est rassurante ici, mais alors si l’on déduit le prix de la cellule, que reste-tel pour la platine ?

Mais, comme Saint Thomas, je ne crois que ce que je vois, donc passons à l’écoute :

C’est, sans surprise, décevant.
Plat, sans profondeur de champ, sans dynamique, sans chaleur, sans détails et des transitoires molles.
Le timbre des instruments est méconnaissable, les masses orchestrales empâtées.
Je ne reconnais rien du contenu de mes vinyles apportés pour ce test.

Je repasse donc les mêmes albums (récents et anciens) sur un lecteur CD de base (Marta ARGERICH, concert de 1965 chez WARNER / Melody GARDOT – Entre eux deux /  Shades of Chet – Enrico RAVA & Paolo FRESU / 5e de MAHLER – Simon Rattle Berliner Philharmonic) et là je retrouve un peu de présence, de détails de finesse, de réalisme.

C’est le monde à l’envers …le CD surpasse sans peine le vinyle !

Puis je remets les vinyles sur une platine vinyle audiophile (REGA en l’occurence dans ce point de vente), et la magie revient !
Donc c’est sur une promesse offerte par une technologie indiscutable qu’ici on se retrouve avec une platine qui ne répond a aucun critère permettant de bénéficier de ses avantages. 

Ce qui m’indispose, c’est la tromperie dans la promesse, la duperie faite aux consommateurs.
C’est justement le mot « promesse » qui introduit la présentation de la marque sur leur site, à lire ici

La « promesse » d’apporter la qualité audiophile à des prix très bas.
Prix bas, oui mais en trahissant cette promesse.
Sur un autre article proposé sur le même site à propos de leur casque ARGON SOUL 3, ils précisent :
                      « Nous avons réduit ce casque à sa plus simple expression »
En effet, que rester-il alors de la musique ?

Ce qui est navrant c’est que compte tenu du marketing puissant entourant la marque, de nombreux utilisateurs vont être floués et bien déçus.
De facto, ils vont grossir le flot de ceux qui disent que finalement le vinyle n’est pas supérieur …

Là où je m’étonne encore plus, c’est quand je vois que cette gamme de produits décevants destinés à la vente en ligne, c’est de le retrouver dans certains magasins de hi-fi, censés être le dernier rempart à la médiocrité…
Sont-ils conscients de se tirer une balle dans le pied ?
Le procédé sur la duperie à la technologie est souvent employé et pas seulement pour le vinyle.

Afin que vous ne pensiez pas que je m’attaque à une marque spécifique, mais plutôt au principe d’une duperie, je vous donne un autre exemple :

Le son ample et chaud des tubes n’est plus à démontrer et de nombreux audiophiles s’y reconvertissent pour assurer un couplage parfait avec leurs enceintes qui parfois méritent la douceur des tubes pour donner une écoute plus harmonieuse à leurs enceintes à haut rendement.
Un bon ampli à tubes, en-dessous de 4000 / 5000 € je n’en connais pas.
Le PRIMA LUNA sans doute.

Alors quand on trouve sur le net un ampli à tubes à 149 €, n’est-ce pas aussi utiliser une technologie réputée audiophile pour vendre un produit épouvantable ?
Ou alors qu’il eût fallu décoder dan le nom « MAD » l’absurdité du produit.

Là aussi, ce qui est insupportable, c’est la duperie.

Ne vous y trompez pas, si je suis vent debout contre ces marques à petits prix qui sapent les bases de nos travaux depuis des décennies, ce n’est pas non plus pour militer pour des produits aux prix exorbitants.
Le haut de gamme n’est pas synonyme de prix extravagants, mais de conception, il existe dans toutes les catégories de prix.
Des techniques appropriées, des matériaux sélectionnés, des alimentation bien dimensionnées, une technologie avant un prix. NAD en premier, mais aussi REGA, TRIANGLE, CABASSE, THORENS ou PRO-JECT et bien d’autres l’ont prouvé depuis longtemps. J’ai été le 1er distributeur de NAD avec les modèles 60, 90 et 120 et cela a créé une révolution dans mon point de vente (AUDIOSYSTEMS à Paris il y a juste 50 ans)

La prochaine tribune y sera consacrée (« Le high end pour le meilleur et pour le pire »), car il existe bien entendu des pièges à déjouer dans le haut et très haut de gamme avec des produits indignes, des importateurs et des revendeurs fleurtant avec des limites tout aussi regrettables.
Ceux qui font des produits à la hauteur de la capacité d’investir du consommateur et non de la qualité intrinsèque du produit et sa performance sonore.
Ceux aussi qui « étouffent » les bonnes marques car ils ne savent pas les distribuer et provoquent leur disparition du marché par simple impéritie, incompétence ou/et manque de moyens.


Mon 2e coup de gueule sera pour SONOS.

Tout d’abord j’avoue que je suis moi même un utilisateur de SONOS depuis que la marque existe.
D’abord parce que le concept est formidable :
Un dispositif pour toute la famille, permettant d’écouter sa musique dans la pièce où on se trouve, la faire suivre du salon à la chambre et à la salle de bains avec son smartphone pour seul maître.
Magique !

Certes ce n’est pas de la haute fidélité, mais c’est bien suffisant pour la musique d’ambiance et les news et surtout accessible à toute la famille.
Et, ne le cachons pas, cela m’arrange car pendant ce temps mes tous petits, mes amis et les copains de passage ne jouent pas avec ma chaine hifi ,-)

Donc quand je fis l’acquisition de mon système SONOS, j’en ai mis partout, ici et ailleurs, dedans et dehors.
Il n’y avait pas encore les « SONOS LIKE » plus exigeants et réellement hifi comme BLUESOUND.

C’est au fil des années qu’avec le succès de la marque ils ont mis en place une stratégie d’obsolescence programmée avec des nouveau produits et de nouvelles applications.
Donc un nouveau produit ne pouvait plus entrer dans le système et un appareil en panne, remplacé par un nouveau se trouvait exclu de la communauté.

De nombreux courriers à SONOS à NYC, des tribunes, des articles et SONOS finit par accorder après de longs mois à une possibilité de « rétrogradation » en S1, l’appli de départ.
Néanmoins nous devenions les rétrogradés, donc sans accès aux améliorations, des «UNDER SONOS PEOPLE». Je vous renvoie à mon post sur l’obsolescence programmée  qui m’a valu une réponse de Patrick SPENCE him self , le PDG de SONOS ici : Obsolescence programmée

C’est insupportable, mais quand on a un nombre conséquent d’enceintes, de Connect, de bridge, tout remplacer (même avec la remise proposée par SONOS) est impossible.

Basta, au bout d’un moment on se fait une (mauvaise) raison et on se promet de ne plus se faire prendre.

Donc quand l’annonce de la sortie d’un casque SONOS s’est faite, je me suis précipité pour le tester.
Voici donc le « ACE », dont le nom est prometteur.


En effet, en complément, je trouvais sympa le principe de pouvoir se balader dans la maison et le jardin sans perdre un minute de mon émission favorite sur France Musique ou TSF JAZZ.

Donc, d’abord je me fais une écoute sur les bases proposées dans les points de vente SONOS.


Je cherche dans les playlist proposées, il n’y a pas de classique, pas de jazz.
Du rap, de la soul, basses à fond, boum boum boum.
Je me connecte donc avec mon I Phone pour avoir accès à mes musiques.
Méconnaissables, le grave est tellement proéminent qu’il masque les fréquences médium et aigues.
La musique est complètement déformée par un algorithme destructeur qui annihile tout ce qui nous attire dans la musique : Détails, subtilité, réalisme sonore, timbre des instruments, plans sonores, tout est empâté.

Mais le pire est à venir :
Je m’adresse à un vendeur spécialiste pour lui demander si ce casque me permettrait d’entrer dans mon système en S1 et de profiter de tous ses avantages.
La réponse fut immédiate, c’est NON.
Il faut, si je veux pourvoir bénéficier de ce casque et de ses avantages communautaire, racheter tout un nouveau système fonctionnant en S2.
Compte tenu du nombre d’enceintes ici et là, disons que c’est impossible.

Ce casque n’apporte donc rien, sinon des déconvenues d’utilisation et un résultat sonore assez décevant.
Seule une utilisation en couplage avec les dernières enceintes mises sur le marché (barre de son par exemple) est possible.

Cela dit, sur le plan des matériaux, du confort, des possibilités de réglage et du fonctionnement en bluetooth, rien à dire, mais à ce prix là (500€) , c’est juste normal.
Les coussinets des oreillettes sont agréables au port et garantissent une isolation compatible avec le système de réduction de bruit qui est efficace.

Donc un nouveau casque sur le marché sans autre avantage, à fortiori dans la catégorie des 500€; c’est un non événement pour moi.
Profitant de mon passage à la FNAC, j’ai pu, 2 mètres plus loin me réconcilier avec les casques hifi (Bowers & Wilkins, SENNHEISER notamment) pour me restaurer les oreilles.


Pour mettre un mot de conclusion je serai tenté de dire :
« Ne croyez plus aux promesses surtout quand le marketing est supérieur à la RD ». 

Testez vous mêmes, écoutez et ne faites confiance qu’à vos oreilles (voir en fin d’article).

Parfois, même dans le cas de grandes marques mondiales, il reste néanmoins une forme d’honnêteté intellectuelle. Mon exemple reste pour le moment celui d’APPLE. 

Ils n’ont jamais promis ce qu’ils ne peuvent tenir.
Ils n’ont jamais eu la prétention de proposer des appareils hifi, ils préfèrent proposer d’autres marques dans leurs points de vente.
C’est honnête et clairvoyant, on ne les prendra pas en défaut sur ce point.

Sur l’obsolescence programmée, même honnêteté, c’est annoncé.
A chaque nouveau système d’exploitation vous connaissez sa gourmandise en espace, à vous de juger quand il faut, soit augmenter les capacités, soit changer de machine, soit ne pas faire les mises à jour. Aucune tromperie en vue.

Anecdote perso :
J’en avais marre de perdre mes Air Pods.
Je dois avoir une déformation professionnelle avec des oreilles trop grandes

A la 3e perdue, je finis par explorer d’autres solutions et d’en profiter pour augmenter la qualité de l’expérience auditive tout en ne me privant pas de tous les avantages d’utilisation des Air Pods .

J’en ai profité pour tester un modèle qui m’a été envoyé en test (Prise de risque avec moi )
Mon choix s’est porté sur le POWER BEATS PRO (Vendu en Apple Store aussi)

D’abord car je connais les performances de celui qui fut le créateur des BEATS by Dr DRE, Noel LEE, créateur aussi de MONSTER CABLE (un de mes meilleurs souvenirs de mon parcours dans l’audio).

« Because sounds matters » était sa base line.

Il m’offrit, à l’époque ou j’étais son distributeur en France, le « Miles Davis » un des meilleurs auriculaires que je n’ai jamais testé et que j’ai toujours.

Donc certain de trouver un peu de son ADN, je n’ai pas été déçu, quoi que la touche Dr DRE lui a donné un peu (trop ? ) d’embonpoint dans le bas.
Mais le reste du spectre est tout à fait honorable et musicalement plus respectueux dans tous les registres que l’Air Pod.

Meilleur définition dans l’aigu, médium en avant, juste ce qu’il faut (ce qui est un bénéfice pour l’utilisation en téléphone) équilibre tonal satisfaisant.
Sur les grosses masses orchestrales en classique comme en jazz, c’est simplement excellent, des transitoires sèches une dynamique réaliste, des plans sonores réalistes, un grave propre et ample (Michel LEGRAND Big Band Jazz / MAHLER 1e symphonie TITAN).
Sur la voix (Stacey KENT, Carmen Mc Ray,) c’est fluide, intelligible, précis.
Sur le jazz (Enrico RAVA / Paolo FRESU) la trompette a des attaques très réalistes la contrebasse est un poil enflée.

En utilisation, il s’avère que celles-ci je n’ai que peu de chances de les perdre, même en faisant du sport, (peu de risques en ce qui me concerne) car le dispositif d’accroche derrière le pavillon de l’oreille en assure une parfaite tenue.
Donc fini de les perdre, ce qui commençait à faire un budget chez APPLE.

Toutes les fonctions avancées en téléphonie sont incluses.
L’appel entrant se présente en audio dans l’oreillette :
« Appel de Ricardo »
« Prendre l’appel, oui ou non ? »


Toutes les fonctions de lecture de musique sont intuitives et faciles directement sur l’écouteur : titre suivant / précédent, avance rapide, volume + / – etc, donc il n’est pas nécessaire de prendre le téléphone en mains.
Le bluetooth assure une bonne portée; j’ai fait un test d’éloignement dans une pièce voisine, sans coupure ni interruption.

La batterie est donnée pour 9h d’autonomie, je n’ai pas pu arriver à bout dans une journée complète de voyage en tout cas. Le boitier de rangement permet la recharge entre chaque écoute.

Bien entendu, bien que ce ne soit pas un produit APPLE, il s’aère automatiquement avec votre environnement, il suffit d’ouvrir le boitier et il apparait sur vos équipements (téléphone ou ordinateur)

Bien entendu compatible avec la même facilité dans l’environnement Androïd
Un excellent achat, un peu en-dessous de 300 €.

Ce n’est pas un produit audiophile néanmoins, mais un produit parfait pour l’utilisation quotidienne (comme SONOS ,-)


Quelle est la seule manière de tester efficacement un équipement audio ?
(réponse à une question récurrente)

On est bien d’accord, le système que vous allez acheter est destiné à entrer et installé chez VOUS ?
C’est donc VOUS et personne d’autre qui doit être satisfait des résultats attendus !
Vous n’êtes ni professionnel, ni musicien, ni acousticien, vous aimez simplement la musique.
Donc chez vous, c’est votre oreille qui doit savoir quel est l’équipement qui vous satisfera, sans aller trop haut dans les prix (à partir du moment où vous êtes aux limites et que vous n’entendez pas la différence, STOP !)

Donc, laissez les bancs d’essais, les gourous et le marketing des marques et ouvrez vos oreilles !

Un exemple de quelques albums pour tester ?
C’est ICI

Bonne écoute !

Et ne manquez pas le prochain post :
« Le High End pour le meilleur et pour le pire »
Une mise au point caustique mais réaliste ….


 

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1 commentaire

  1. Merci Jean-Marie pour cette mise au point indispensable et j’espère, salutaire…
    Je me régale avec tes playlists !

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